Le lit au-dèla de la rivière

Au bord de la riviére je sentais, regardais, et je entendais l’eau. J’étais fondue, melangé avec l’eau. Je me suis couché prés de l’arbre, je ressentais le sole. Je roulais prés de l’eau et je me suis assis. Je regardais au bord de la rivière et comment la courant prennait les feuilles. Je verais les petits animeaux qu’étaient suspendu sur l’eau ou que nageaient soubmergis, petits poissons en sincronie alterné. Le son rassambleais augmenter, et le vent tennais ça presence remarcable. Le soleil reflechait dans l’eau et créeait un point de lumiére intense. Les plantes au bord de la riviére étaient reflechis aussi au mirroir de l’eau et elles se balançoire au soufle du vent; les choses que tombaient dans l’eau, elles faisaient le mouvement de propagation d’ondes. La perspective fuite pour l’espace de fluxe continu, mais indeterminé. Désir d’entrer dans l’eau. Rendez – vous de petits elements de terre, pelouse, casques de fruits et autresje regardais proche la formi et ‘a joaninha’ en promenade d’abord sans chemin, mais sûr. Le sole m’appelais et je me suis netoyais les vestiges de peau.